Un modèle de la nature : le serpent.

Le serpent

Symbole d’immortalité et de Renaissance, comme d’autres animaux, qui entrent sous terre comme on enterre les morts, et en ressortent, les serpents sont symboles de renaissance, de sagesse, d’infini et d’immortalité.

La symbolique du serpent est l’une des plus profondes et complexes. Il n’est guère de cultures et de mythologies qui n’aient leur Grand Serpent, presque toujours marin et ambigu, sinon ambivalent.

Chez les amérindiens il symbolise la transmutation du cycle vie-mort-renaissance. C’est l’énergie de l’intégrité, l’habileté de tout expérimenter volontairement et sans résistance, afin de parvenir à la sagesse. Quetzalcoatl, ou «Serpent à plumes», chez les Aztèques, était un dieu de la mort, mais aussi de la Renaissance.
En Inde et dans toutes les régions avoisinantes, depuis l’aube de la civilisation indienne, le serpent joue un rôle-clé, et fait l’objet d’une grande vénération et des cultes les plus divers ; et le bouddhisme comme le jaïnisme l’ont même adopté comme symbole.


Le serpent est aussi l’animal qui se régénère puisque la saison venue il mue, il change de peau : il fait peau neuve. Il parle alors de mutation, de transformation.

L’Ouroboros est l’un des plus anciens symboles.

Le serpent qui se mord la queue représente depuis des millénaires le cycle éternel de la vie et de la mort, un cycle d’évolution refermé sur lui même.


Il évoque la notion de mouvement, de continuité, d’autofécondation et en conséquence, d’éternel retour. La forme circulaire de l’image a donné lieu à une autre interprétation : l’union du monde terrestre figuré par le serpent, et du monde céleste figuré par le cercle.


C’est un symbole dont l’origine se perd dans la nuit des temps. Depuis des milliers d’années, ce serpent ou dragon circulaire qui avale sa propre queue apparaît de multiples civilisations sur tous les continents.

Déjà, il y a plus de 6000 ans, en Chine, les dragons-cochons de la culture néolithique de Hongshan évoquent l’Ouroboros.
Puis, 1600 ans avant notre ère, on rencontre des représentations de serpents circulaires se mordant la queue en Egypte, où ils évoquent le parcours annuel du disque solaire et son éternel recommencement. De là, le symbole se transmet aux Phéniciens et aux Grecs, qui le baptisent Ouroboros (littéralement, « qui se mord la queue »).

La kundalini, un concept qui réapparait.

Avec les changements de l’énergie sur la Terre, mesurables par l’augmentation de la fréquence Schumann (voir NASA ou site russe ,http://sosrff.tsu.ru/?page_id=7), apparaissent des phénomènes énergétiques, qui ont toujours existé, mais qui auparavant étaient très rares.

Un de ces phénomènes, se nomme, le réveil de la kundalini. Il est représenté par le serpent de feu.

La kundalini est une énergie, en forme de serpent, qui est enroulée, trois fois à la base de la colonne vertébrale, au niveau du périnée de tout être humain.

Son éveil manifeste le développement de l’énergie cosmo-tellurique, cette énergie c’est la source de toutes les formes de vie, de toutes les pouvoirs, de toutes les forces de vie de la création.

C’est l’essence même de la vie.

Je peux attester que cette énergie existe, puisque je l’expérimente depuis plusieurs années, et je connais d’autres personnes dans ce cas. Si vous avez des sensations qui pourraient correspondre à l’émergence de la kundalini, contactez-moi.