La peur est beaucoup facile à transmettre que la connaissance. Elle est présente depuis plusieurs mois dans notre réalité actuelle.
La peur est une émotion à la base positive, tant qu’elle fait partie de notre équipement d’outils de survie. Dès lors qu’elle répond à un danger réel.
À l’inverse, quand elle surgit face à une menace imaginaire, elle correspond à un syndrome névrotique et prend généralement la forme d’une angoisse.
Comme d’autres émotions, la peur peut aussi atteindre différents niveaux d’intensité. Elle va de la simple méfiance à la panique. Dans les peurs de moindre niveau, la situation se résout avec une relative facilité, alors que quand cette émotion a une forte intensité, elle peut annuler l’autonomie de l’être humain. De fait, il existe des cas de paralysie totale à cause de la peur. L’émotion paralyse littéralement l’individu.
La connaissance désigne un rapport de la pensée à la réalité extérieure. Elle engage la notion de vérité. Elle désigne le contenu de la pensée et s’oppose à l’erreur ou l’illusion.
En philosophie, la connaissance est l’état de celui qui connaît ou sait quelque chose. On appelle aussi « connaissance » les choses connues elles-mêmes, et par extension les choses qui sont tenues pour des connaissances par un individu ou une société donnée.
On a tendance à nier la validité de tout ce qui n’appartient pas au même système. mais quelque part, « connaître » c’est « naître avec« .
La connaissance relève de la dignité humaine et permet le progrès technique et scientifique certes, mais aussi moral et social.
La connaissance se cherche, se trouve, s’enseigne, s’acquiert : il s’agit d’une activité à la fois individuelle et collective. L’information si elle est restreinte ou faussée, engendre une montée de l’angoisse.
De même, lorsque le cerveau fait face à l’inconnu ou des consignes contradictoires, il est en souffrance. Prescrire des consignes confuses et/ou contradictoires provoque un programme inhibiteur du cerveau.
Plus que la méconnaissance, ce qui alimente la peur c’est l’impossibilité de compréhension, la limitation des consciences, ou la malhonnêteté intellectuelle.
Tout comme la connaissance nous libère et nous rend autonome, l’ignorance nous condamne à l’esclavage de la peur.
Connaître et comprendre nous tranquillise, méconnaître et ignorer nous met dans un état d’alerte et peut nous amener à accepter l’inacceptable.
Je suis à votre disposition pour une aide ponctuelle ou suivie. Je vous accompagne vers une meilleure compréhension de vos émotions et vous permets de les dépasser.
Lore, le sens de la vie 